Richard Wonson
"Richard Wonson". Ce nom me hante. Qui est-il? Qui suis-je? Ce monde, c'est celui auquel j'appartient. Je m'en souvient. Chaque roc, chaque arbre, je les connais. Mais je les voit maitenant sous un autre vigase. Un visage sombre, terrifiant, vide de tout être humain sauf moi. Je marche comme un possédé vers ce qui me semble être un ville. Je regarde le paysage. Tout ici semble maléfique. Le diable c'est emparé depuis longtemps de ces lieux. Les arbres sont morts, recouverts d'une sorte d'aura ténébreuse. J'essaye de me souvenir de moi. De ma maison, ma famille. J'essaye de reprendre le contrôle sur mon corps. Mais c'est un cause vaine : mon âme lui appartient désormais. Je suis une marionette, sans volonté propre. Je ne suis plus humain. Je suis maitenant devant une maison. J'entre, avec une clef que je n'avait sur moi auparavant. J'avance et ferme le porte derière moi. Soudain, la liberté des mouvents me revient. Toutes mes pensés me reviennent, ormis une : mon nom. Mais çela n'a d'importance ici : je doit trouver le moyen de fuir. Je me retounre mais... il n'y a plus de porte. La porte que j'ai, à l'instant, franchie n'existe tout simplement plus. Je doit avancer, je n'ai plus le choix. Ici, ce n'est pas moi qui décide des lois. J'avancait donc. Je monte des escaliers étrangéments familliers. Il y a une porte après ces escaliers. Elle me remmenerait dans le monde où je suis né. Je le savait, peut-être je devient fou? Sans doute, car à chaque mètre franchi, la porte s'éloignait d'autant. Après une heure de course, je décidait de m'arrêter. J'examine les lieux et je reconnu mon chez-moi : il y à donc une cave. Je désecend en quelques secondes les escalier qui m'ont prit si longtems à monter. J'arrive à l'entrée de la cave, j'ouvre délicatement la porte mais je senti un malaise en moi : ce n'était pas une cave mais un grenier, mon grenier!!! Je sait que le porte qui devrait normalement être derrière moi n'existe plus. Je me retourne pour en avoir le choeur net : c'est bien ça. Je décide alors de regarder par la lucarne : je voit mes enfants, et les belles couleurs de mon monde que je croiyait perdu. Un dernier détail me revient alors en tête : je m'appelle Richard Wonson. Je sort du grenier en me retournant pour m'assurer que la porte ne disparaisse pas. Rassuré, je fait volte-face.
Et je me retrouve dans la cave